FAMILLE : Formicidae
SOUS FAMILLE : Formicinae
TRIBU : Camponotini
GENRE : Polyrhachis (Chariomyrma)
ESPÈCE : Polyrhachis hookeri
TAXONOMISTE ET ANNÉE DE DESCRIPTION : Espèce décrite par le médecin et passionné des sciences anglais Benjamin Thompson Lowne en 1865 durant son voyage sur le “Walter Hood” en Australie.
NOMS VERNACULAIRES : Parfois nommée par les anglophones « green spiny ant », littéralement « fourmi verte à épines ».
SYNONYMES ET ANCIENS NOMS UTILISÉS : Polyrhachis cataulacoidea (en référence au genre Cataulacus qui a des couleurs irisées dans le même style physionomique) et Polyrhachis hookeri aerea (anciennement toutes les espèces de Polyrhachis sp. vertes étaient regroupées à travers l’appellation “P.hookeri” mais sous différentes sous-espèces).
ÉTYMOLOGIE DU GENRE : Le prefix « poly » du grec « polloi » signifiant « plusieurs » et « rhachis » du grec ancien « rakhis » signifiant « épine ».
ÉTYMOLOGIE DE L’ESPECE : Référence à Sir. Joseph Dalton Hooker, un explorateur et botaniste britannique du XVIIIème siècle.
TAILLE GYNE : 6 MM
TAILLE OUVRIÈRES : 4 – 5 MM
TAILLE MÂLES : 4 MM
[PHOTO INDISPONIBLE]
MORPHISME : Cette espèce est monomorphe et ne présente donc pas de sous-caste ou de variation importante de taille entre les ouvrières.
FAISANT PARTIE D’UN GROUPE D’ESPÈCES CRYPTIQUES : Polyrhachis hookeri est très souvent confondue avec d’autres Polyrhachis australiennes du sous-genre Chariomyrma. Pour plus de détails, veuillez consulter ce guide d’identification.
Les yeux non aguerris pourront également se laisser tromper par la couleur et ainsi confondre Polyrhachis hookeri et Rhytidoponera sp. Cependant les deux genres restent très facilement différenciables grâce à leur morphologie.
DESCRIPTION : Polyrhachis hookeri est une petite espèce avec des couleurs irisées variant entre le vert et le violet et des reflets argentés à dorés sur le gastre. Généralement, les pattes sont rouges, le gastre doré, le thorax et la tête sont vert et les mandibules violettes. Comme beaucoup d’autres Polyrhachis, elle possède des épines sur le thorax et le pétiole. L’espèce se présente comme étant assez monomorphe, il y a très peu de variations morphologiques au sein de la caste ouvrière. Les gynes se reconnaissent par leur thorax plus imposant. On ne signale ni aiguillon, ni acide formique.
DESCRIPTION DU BIOTOPE : L’espèce vit dans des milieux dégagés avec climat tempéré ou subtropical, elle est plutôt commune dans les prairies, les forêts claires, les parcs voire même les milieux périurbains. On l’observe également dans les clairière des forêts mésiques (tempérées). L’espèce ne semble pas s’installer au dessus de 550 mètres d’altitudes et se rencontrerait plus fréquemment dans les sols argileux.
NIDIFICATION : Cette espèce est terricole, elle fait ses nids dans les sols argileux et légèrement sablonneux, très souvent sous les pierres ou dans le bois mort. L’espèce nidifie parfois au pied d’un arbre.
DÉMOGRAPHIE : La démographie de cette espèce est mal connue mais les colonies semblent relativement petites, entre 500 et 2000 individus.
PARTICULARITÉS COMPORTEMENTALES : Polyrhachis hookeri est une fourmi peu agressive, elle est très opportuniste et les ouvrières se nourrissent en journée, seule ou en petit groupe. Contrairement à d’autres espèce de Polyrhachis, elles ne sont pas tisserandes. Leur comportement reste cependant semi-arboricole.
Les couleurs de Polyrhachis hookeri laissent à penser que cette espèce est mimétique du genre Rhytidoponera. On suppose que la relation entre celles-ci est semblable à celle qu’on retrouve entre Crematogaster scutellaris et Camponotus lateralis, c’est à dire que P. hookeri mimerait les Rhytidoponera pour passer plus inaperçue dans son environnement ou pour dissuader les prédateurs de s’attaquer à elle.
ALIMENTATION : Dans la nature cette espèce se nourrit principalement de cadavres d’insectes en tout genre et de liquides sucrés provenant des plantes grasses, de fruits, ou tout autre aliment sucré. Elles sont voraces et opportunistes, on les observe régulièrement élever des aphides afin d’en récolter le miellat. C’est donc une espèce omnivore et plutôt opportuniste, bien qu’en captivité certaines colonies puissent devenir difficiles avec le temps. En captivité on nourrira cette espèce avec des liquides sucrés à base de miel, de lait, de sucre roux ou tout autre mélange, de quelques fruits BIO et d’insectes fraîchement tués.
ESSAIMAGE : Les essaimages se déroulent en Janvier et en Février, soit durant l’été austral.
GYNIE : L’espèce est strictement monogyne et ne pratique pas la pléométrose. La polygynie secondaire n’est cependant pas à exclure (princesse fécondée qui retourne dans son nid mère).
FONDATION : Indépendante et Semi-claustrale, la gyne sort seule de sa loge pour chercher de quoi nourrir la première génération de larves. La fondation semble relativement longue puisqu’elle nécessiterait un passage à diapause durant l’hiver australe (l’été européen), avant l’apparition des premières ouvrières.
CYCLE DE DÉVELOPPEMENT : Exogène hétérodynamique, cette espèce fait donc une diapause induite par la température extérieure, celle-ci est importante pour le repos ovarien de la gyne.
Cette espèce est endémique à l’Australie, elle est présente sur la côte Est du territoire. On l’observe de Canberra à Townsville. La majorité de la population se situe ainsi au Nord et à l’Est de la Nouvelle-Galles-du-Sud, et au Queensland, en suivant la côte Australienne. Présence inexpliquée sur l’île du Prince de Galles au Sud de la Papouasie.
TEMPÉRATURE DE MAINTIEN : L’espèce se maintient sur une plage de température comprise entre 21°C et 26°C, nous vous conseillons de réaliser un gradient thermique
HYGROMÉTRIE : Environ 70% d’humidité ambiante, nous vous conseillons de réaliser un gradient hygrométrique (une zone sèche à 50% et une zone humide à 70%). Une nymphose nue sera le signe d’une humidité trop importante.
INSTALLATION : En élevage, on privilégiera le tube (14mm ou 16mm) pour la fondation avec réserve d’eau et substrat., Puis, la majorité des éleveurs proposeront un nid en béton cellulaire ou en ciment. Cependant, certains ont choisi avec succès une option plus naturelle : le terrarium. A noter que les meilleurs éleveurs préféreront laisser le choix à la gyne entre un tube sec et un tube humide et ajouteront parfois un peu de substrat naturel ainsi que des feuilles mortes dans l’ADC. Ces petits détails en plus semblent augmenter le taux de réussite à la fondation.
FOREUSE ? : Non, l’espèce ne semble pas foreuse mais il est tout à fait probable qu’elle puisse le devenir en cas de manque de place.
DIAPAUSE : L’espèce étant originaire de l’hémisphère sud, sa diapause est qualifiée “d’australe” et par conséquent, elle se déroulera durant l’été en Europe. Par manque de moyens, beaucoup d’éleveurs choisissent donc de ne pas mettre en diapause leur colonie, Cependant, après des observations, une diapause à 10/12°C de Juin à fin septembre augmenterait de manière non négligeable l’espérance de vie de la gyne. Tenter de dérégler le cycle physionomique de sa colonie pour les faire hiverner durant l’hiver européen (été australe), semble être une très mauvaise idée nuisant gravement à la santé des colonies sur le long terme.
FONDATION : Il faudra placer la gyne dans un tube à essai préparé pour la fondation (ou proposer 2 tubes comme expliqué précédemment). La première génération compte généralement cinq ou 6 ouvrières. Il faudra maintenir la gyne dans le plus grand calme à l’abri de la lumière et des vibrations. Dès l’arrivée des ouvrières, placez une ADC et nourrir régulièrement avec des liquides sucrés.
ALIMENTATION EN ÉLEVAGE : En élevage on nourrit cette espèce avec du pseudo-miellat (en variant régulièrement les recettes), des petits morceaux de fruit BIO et des insectes ou bouts de viandes crues. Elles sont omnivores et opportunistes. Cette espèce a acquis la réputation d’être parfois difficile à nourrir car elle peut se lasser très vite des aliments qu’on lui propose. Veillez à varier régulièrement vos recettes en utilisant du miel, du sucre roux, de la fleur de coco, ou même du sirop d’agave pour les empêcher de se lasser de certains ingrédients.
DIFFICULTÉ D’ÉLEVAGE : Une espèce très récemment arrivée sur le marché, qui ravira les éleveurs de niveau intermédiaire en quête d’exotisme et d’excentricité. Sa diapause inversée, sa petite taille et sa longue fondation seront néanmoins des points importants à prendre en compte avant tout achat. L’espèce ne sera finalement pas d’une difficulté insurmontable en fondation mais demandera à l’éleveur une certaine rigueur.
Cependant, gardez à l’esprit que c’est une espèce de très petite taille, peu active et venue par avion de contrée lointaine. On peut alors se poser légitiment la question de l’intérêt d’élever une espèce comme celle-ci au vu de son impact environnemental.
Antwiki
Antweb
Antmaps
GBIF
iNaturalist
Antcat
Photographie de couverture : L’Haricot.
Fiche rédigée par GentilBébéPhok, One Ants et l’Haricot.
1) CLASSIFICATION ET SIGNIFICATION :
FAMILLE : Formicidae
SOUS FAMILLE : Formicinae
TRIBU : Camponotini
GENRE : Polyrhachis (Chariomyrma)
ESPÈCE : Polyrhachis hookeri
TAXONOMISTE ET ANNÉE DE DESCRIPTION : Espèce décrite par le médecin et passionné des sciences anglais Benjamin Thompson Lowne en 1865 durant son voyage sur le “Walter Hood” en Australie.
NOMS VERNACULAIRES : Parfois nommée par les anglophones « green spiny ant », littéralement « fourmi verte à épines ».
SYNONYMES ET ANCIENS NOMS UTILISÉS : Polyrhachis cataulacoidea (en référence au genre Cataulacus qui a des couleurs irisées dans le même style physionomique) et Polyrhachis hookeri aerea (anciennement toutes les espèces de Polyrhachis sp. vertes étaient regroupées à travers l’appellation “P.hookeri” mais sous différentes sous-espèces).
ÉTYMOLOGIE DU GENRE : Le prefix « poly » du grec « polloi » signifiant « plusieurs » et « rhachis » du grec ancien « rakhis » signifiant « épine ».
ÉTYMOLOGIE DE L’ESPECE : Référence à Sir. Joseph Dalton Hooker, un explorateur et botaniste britannique du XVIIIème siècle.
2) MORPHOLOGIE ET IDENTIFICATION :
TAILLE GYNE : 6 MM
TAILLE OUVRIÈRES : 4 – 5 MM
TAILLE MÂLES : 4 MM
[PHOTO INDISPONIBLE]
MORPHISME : Cette espèce est monomorphe et ne présente donc pas de sous-caste ou de variation importante de taille entre les ouvrières.
FAISANT PARTIE D’UN GROUPE D’ESPÈCES CRYPTIQUES : Polyrhachis hookeri est très souvent confondue avec d’autres Polyrhachis australiennes du sous-genre Chariomyrma. Pour plus de détails, veuillez consulter ce guide d’identification.
Les yeux non aguerris pourront également se laisser tromper par la couleur et ainsi confondre Polyrhachis hookeri et Rhytidoponera sp. Cependant les deux genres restent très facilement différenciables grâce à leur morphologie.
DESCRIPTION : Polyrhachis hookeri est une petite espèce avec des couleurs irisées variant entre le vert et le violet et des reflets argentés à dorés sur le gastre. Généralement, les pattes sont rouges, le gastre doré, le thorax et la tête sont vert et les mandibules violettes. Comme beaucoup d’autres Polyrhachis, elle possède des épines sur le thorax et le pétiole. L’espèce se présente comme étant assez monomorphe, il y a très peu de variations morphologiques au sein de la caste ouvrière. Les gynes se reconnaissent par leur thorax plus imposant. On ne signale ni aiguillon, ni acide formique.
3) Biologie :
DESCRIPTION DU BIOTOPE : L’espèce vit dans des milieux dégagés avec climat tempéré ou subtropical, elle est plutôt commune dans les prairies, les forêts claires, les parcs voire même les milieux périurbains. On l’observe également dans les clairière des forêts mésiques (tempérées). L’espèce ne semble pas s’installer au dessus de 550 mètres d’altitudes et se rencontrerait plus fréquemment dans les sols argileux.
NIDIFICATION : Cette espèce est terricole, elle fait ses nids dans les sols argileux et légèrement sablonneux, très souvent sous les pierres ou dans le bois mort. L’espèce nidifie parfois au pied d’un arbre.
DÉMOGRAPHIE : La démographie de cette espèce est mal connue mais les colonies semblent relativement petites, entre 500 et 2000 individus.
PARTICULARITÉS COMPORTEMENTALES : Polyrhachis hookeri est une fourmi peu agressive, elle est très opportuniste et les ouvrières se nourrissent en journée, seule ou en petit groupe. Contrairement à d’autres espèce de Polyrhachis, elles ne sont pas tisserandes. Leur comportement reste cependant semi-arboricole.
Les couleurs de Polyrhachis hookeri laissent à penser que cette espèce est mimétique du genre Rhytidoponera. On suppose que la relation entre celles-ci est semblable à celle qu’on retrouve entre Crematogaster scutellaris et Camponotus lateralis, c’est à dire que P. hookeri mimerait les Rhytidoponera pour passer plus inaperçue dans son environnement ou pour dissuader les prédateurs de s’attaquer à elle.
ALIMENTATION : Dans la nature cette espèce se nourrit principalement de cadavres d’insectes en tout genre et de liquides sucrés provenant des plantes grasses, de fruits, ou tout autre aliment sucré. Elles sont voraces et opportunistes, on les observe régulièrement élever des aphides afin d’en récolter le miellat. C’est donc une espèce omnivore et plutôt opportuniste, bien qu’en captivité certaines colonies puissent devenir difficiles avec le temps. En captivité on nourrira cette espèce avec des liquides sucrés à base de miel, de lait, de sucre roux ou tout autre mélange, de quelques fruits BIO et d’insectes fraîchement tués.
ESSAIMAGE : Les essaimages se déroulent en Janvier et en Février, soit durant l’été austral.
GYNIE : L’espèce est strictement monogyne et ne pratique pas la pléométrose. La polygynie secondaire n’est cependant pas à exclure (princesse fécondée qui retourne dans son nid mère).
FONDATION : Indépendante et Semi-claustrale, la gyne sort seule de sa loge pour chercher de quoi nourrir la première génération de larves. La fondation semble relativement longue puisqu’elle nécessiterait un passage à diapause durant l’hiver australe (l’été européen), avant l’apparition des premières ouvrières.
CYCLE DE DÉVELOPPEMENT : Exogène hétérodynamique, cette espèce fait donc une diapause induite par la température extérieure, celle-ci est importante pour le repos ovarien de la gyne.
4) Répartition :
Cette espèce est endémique à l’Australie, elle est présente sur la côte Est du territoire. On l’observe de Canberra à Townsville. La majorité de la population se situe ainsi au Nord et à l’Est de la Nouvelle-Galles-du-Sud, et au Queensland, en suivant la côte Australienne. Présence inexpliquée sur l’île du Prince de Galles au Sud de la Papouasie.
5) ÉLEVAGE :
TEMPÉRATURE DE MAINTIEN : L’espèce se maintient sur une plage de température comprise entre 21°C et 26°C, nous vous conseillons de réaliser un gradient thermique
HYGROMÉTRIE : Environ 70% d’humidité ambiante, nous vous conseillons de réaliser un gradient hygrométrique (une zone sèche à 50% et une zone humide à 70%). Une nymphose nue sera le signe d’une humidité trop importante.
INSTALLATION : En élevage, on privilégiera le tube (14mm ou 16mm) pour la fondation avec réserve d’eau et substrat., Puis, la majorité des éleveurs proposeront un nid en béton cellulaire ou en ciment. Cependant, certains ont choisi avec succès une option plus naturelle : le terrarium. A noter que les meilleurs éleveurs préféreront laisser le choix à la gyne entre un tube sec et un tube humide et ajouteront parfois un peu de substrat naturel ainsi que des feuilles mortes dans l’ADC. Ces petits détails en plus semblent augmenter le taux de réussite à la fondation.
FOREUSE ? : Non, l’espèce ne semble pas foreuse mais il est tout à fait probable qu’elle puisse le devenir en cas de manque de place.
DIAPAUSE : L’espèce étant originaire de l’hémisphère sud, sa diapause est qualifiée “d’australe” et par conséquent, elle se déroulera durant l’été en Europe. Par manque de moyens, beaucoup d’éleveurs choisissent donc de ne pas mettre en diapause leur colonie, Cependant, après des observations, une diapause à 10/12°C de Juin à fin septembre augmenterait de manière non négligeable l’espérance de vie de la gyne. Tenter de dérégler le cycle physionomique de sa colonie pour les faire hiverner durant l’hiver européen (été australe), semble être une très mauvaise idée nuisant gravement à la santé des colonies sur le long terme.
FONDATION : Il faudra placer la gyne dans un tube à essai préparé pour la fondation (ou proposer 2 tubes comme expliqué précédemment). La première génération compte généralement cinq ou 6 ouvrières. Il faudra maintenir la gyne dans le plus grand calme à l’abri de la lumière et des vibrations. Dès l’arrivée des ouvrières, placez une ADC et nourrir régulièrement avec des liquides sucrés.
ALIMENTATION EN ÉLEVAGE : En élevage on nourrit cette espèce avec du pseudo-miellat (en variant régulièrement les recettes), des petits morceaux de fruit BIO et des insectes ou bouts de viandes crues. Elles sont omnivores et opportunistes. Cette espèce a acquis la réputation d’être parfois difficile à nourrir car elle peut se lasser très vite des aliments qu’on lui propose. Veillez à varier régulièrement vos recettes en utilisant du miel, du sucre roux, de la fleur de coco, ou même du sirop d’agave pour les empêcher de se lasser de certains ingrédients.
DIFFICULTÉ D’ÉLEVAGE : Une espèce très récemment arrivée sur le marché, qui ravira les éleveurs de niveau intermédiaire en quête d’exotisme et d’excentricité. Sa diapause inversée, sa petite taille et sa longue fondation seront néanmoins des points importants à prendre en compte avant tout achat. L’espèce ne sera finalement pas d’une difficulté insurmontable en fondation mais demandera à l’éleveur une certaine rigueur.
Cependant, gardez à l’esprit que c’est une espèce de très petite taille, peu active et venue par avion de contrée lointaine. On peut alors se poser légitiment la question de l’intérêt d’élever une espèce comme celle-ci au vu de son impact environnemental.
Sources et crédits :
Antwiki
Antweb
Antmaps
GBIF
iNaturalist
Antcat
Photographie de couverture : L’Haricot.
Fiche rédigée par GentilBébéPhok, One Ants et l’Haricot.
Edition Février 2024